Depuis quelques mois, je cherche à changer les meubles de mon salon. Ma table basse en bois est de plus en plus bancale, mon meuble TV a un tiroir qui ne se ferme plus, mon fauteuil est victime des griffes de mon chat et surtout, l’accoudoir de mon canapé est à moitié déboité depuis la dernière soirée. Actuellement, on ne peut pas vraiment attribué un style précis à la pièce. C’est un salon très convivial avec des étagères remplies de bouquins, de plantes et de divers objets. Il y a quelques cadres accrochés au mur et quelques lampes posées à droite à gauche pour une ambiance tamisée. En fait, je n’utilise quasiment jamais la grande suspension, je trouve qu’elle agresse trop les yeux.
À la recherche d’une table basse et d’un canapé
Comme je dois racheter au minimum une table basse et un canapé, j’ai décidé de mettre en place une vraie décoration dans le salon. Au départ, j’avais pensé au style scandinave. J’aime son côté épuré, graphique et jamais démodé. Mais par contre, je trouve qu’il est de plus en plus présent dans les intérieurs et ça, ça me dérange. C’est ennuyant d’aller chez quelqu’un et de se rendre compte qu’il a le même style de décoration que vous ! C’est pourquoi après maintes réflexions, j’ai décidé que mon nouveau salon adopterait le style industriel. J’apprécie le mélange des matières bruts et naturelles comme le bois et le métal. Ça apporte un côté 30 Glorieuses ou loft New Yorkais. En choisissant ce style, je me dis que je pourrais aussi chiner différents objets pour ajouter une touche de vécue à la pièce.
C’est d’ailleurs cette option que je me suis fixée pour acheter un « nouveau canapé » : un canapé seconde main en bon état mais pas neuf. Avec mon chat, je me suis dit que ce n’était pas raisonnable d’acheter un canapé neuf. Il y ferait ses griffes en quelques jours et je serais bien triste de voir mon nouveau meuble abimé.
Par contre, pour la table basse j’ai décidé d’investir et d’en acheter une neuve. C’est un meuble indispensable que je vais garder pendant de nombreuses années et que le chat ne risque pas de saccager. Aussi, vivant en ville et n’ayant pas de voiture personnelle, j’ai décidé de l’acheter sur internet et de me la faire livrer directement chez moi ! C’est plus simple !
J’ai donc passé de longues heures sur des sites à chercher la parfaite table basse industrielle : pas trop cher, de bonne qualité et qui en jette un max. Au bout d’un moment, j’en ai eu marre de passer mon week-end sur l’ordinateur et j’ai décidé de boire un verre avec des amis. C’est à ce moment, bien installée en terrasse au soleil, qu’une amie m’a parlé de Pib. Elle avait vu ce site dans le dernier magazine Elle Décoration, apparemment intéressant avec pas mal de choix industriels, scandinaves, vintage et bohèmes.
La découverte du concept Pib
Le lendemain de cette soirée, je me suis préparée un petit thé et j’ai visité le site de Pib. J’ai rapidement trouvé ce que je cherchais : une bonne dizaine de tables basses au style industriel. J’ai flashé sur le modèle Aristodes avec ses deux plateaux et ses roulettes.
Le premier plateau me servirait pour l’apéro entre amis et les soirées plateau TV en solitaire ! Le second, pour ranger les bouquins en cœur de lecture, les télécommandes et d’autres petits objets. Les roulettes en vieux métal faciliteraient le déplacement de la table lors du passage de l’aspirateur par exemple ! Le format rectangulaire de la table basse Aristodes m’a également séduit. Comme j’ai un petit salon, je n’avais pas envie de l’encombrer avec une table carrée imposante qui prenne la moitié de la pièce. Le mélange des plateaux en bois et de la structure en métal caractérisent parfaitement le style industriel.
Ce qui sympa sur Pib (www.produitinterieurbrut.com) c’est que j’ai pu choisir de payer en 3 fois sans frais. Ainsi je n’ai pas senti le paiement passer dans mon budget mensuel ! J’ai reçu mon meuble en une semaine à peu près et j’étais hyper pressée de l’installer. Dès que je suis rentrée du boulot, j’ai déchiré le carton et j’ai installé la table dans mon salon. Quel changement ! Maintenant, il ne me reste plus qu’à chiner mon canapé.